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Ana Stanoevska, 18 ans, habite à Bitola, tout près du front. Elle voudrait devenir architecte. Elle aime le dessin et le rock.

Ana Stanoevska sur des ruines de fortifications alliées sur le front près de Bitola.
Copyright Simon Lambert / Kairos


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« J’ai été fascinée par les bunkers troglodytes que l’on trouve sous chaque rocher. J’ai été marquée par les tranchées, par toutes les constructions, et particulièrement par les murs de pierre. »

Dans une grotte avec Kostadin,  commandant de la caserne des pompiers de Bitola et démineur. Il est le seul a bien connaître les lieux de bataille. Copyright Simon Lambert / Kairos

La vue sur les  cheminées de la centrale à charbon de Bitola. La ville, bombardée presque quotidiennement jusqu'en 1918, sort de la guerre presque entièrement détruite. Copyright Simon Lambert / Kairos

« On prend conscience des conditions de vie que les soldats ont endurées. Ils ont réussi à aménager des lieux de vie à peu près supportables. Des restes de bouteilles de cognac français sont encore là. »

 

FASCINATION

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« 55% des hommes de la région se sont battus, ont été mobilisés dans des armées... étrangères. C’est d’autant plus tragique que toutes ces victimes sont mortes pour des causes injustes. »

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