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« Je ne pense pas que j’aurais pu survivre dans les tranchées. »
Vue depuis le sommet du Vieil-Armand sur la plaine d'Alsace au niveau de l'agglomération de Mulhouse.
Copyright Pierre Vassal / Kaïros
« Jusqu’à présent, je ne connaissais que le cimetière du Vieil-Armand. 30000 soldats sont morts Les tranchées sont consolidées et en cours de rénovation. Les Allemands étaient mieux organisés que les Français car ils savaient que la guerre durerait longtemps. »
Grégory Baert, 16 ans, habite à Bischwiller, près du Vieil-Armand, et voudrait devenir professeur d'histoire.
Tranchée allemande sur le Vieil-Armand. Copyright Pierre Vassal / Kaïros
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« Quand les soldats étaient tués, les corps restaient dans les tranchées. Leurs amis ne pouvaient pas les sortir, sinon ils se faisaient tirer dessus. J’ai pu m’imaginer l’horreur dans laquelle ils ont vécu. » »
Grégory, 16 ans, originaire de Bischwiller-lès-Thann, observe la plaine d’Alsace depuis l'entrée d'un bunker allemand. Copyright Pierre Vassal / Kaïros